L'indifférent, celui qui fait abstraction, il me préoccupe !!C'est une attitude exaspérante… Parfois l'un préfère celui qui est franchement contre. Quelles sont les causes de cette attitude ? Comment vaincre le désintéressement ? Je me demande si par crainte, à être fondamentalistes dans notre lecture, nous mêmes ne nous glissons pas alors dans certaine attitude d'indifférence en face de la valeur de la vie et de l'enseignement ou bien devant soi même. La question caractéristique de l'attitude d'indifférence qui la définit mieux, me semble précisément celle ci : qu'est-ce qui a à voir les autres avec nous ? On observait déjà dans la première moitié du XIXe siècle, que le sens du mot une indifférence varie selon comme elle s'applique aux personnes. Quelques fois un jugement de la raison désigne un état de l'âme, Je me rapporte ici à l'indifférence comme état de l'âme, ou plutôt, de l'esprit. Dans ce sens subjectif ou psychologique, l'indifférence est un état de lassitude ou de faiblesse qui retire à l'homme le désir de connaître la vérité que qu'il ne peut pas ignorer sans danger, et il le laisse comme insensible à ses plus grands intérêts. Elle nous occupe, ce n’est pas n’importe quelle indifférence en face de n'importe quelle vérité vitale, mais celle qui se présente spécifique et proprement en face de toi. J'ai défini l'indifférence comme désintéressement devant l'état d’esprit… Sous l'apparente indifférence se cache ou dissimule un jugement négatif déjà formé, rapproche et qui essaie de s'ignorer. Personne n'aime ce qu'il elle ne respecte pas. Et le respect (re-spectus) est le regard attentif, la considération correcte elle regarde et remarque, démasquant celui qui a devant
La peur de la vérité en contrepartie elle suppose que quelqu'un qui se considère bon lui-même... Considère que la vérité peu l’abimer...